Je disais dans mon article précédent que je ne pensais pas avoir terminé le NaNoWriMo au prochain NaNoUpdate.
Bon, ben encore une fois je sais hyper bien estimer mon avancée.
Nous sommes le samedi 16 novembre 2019, j’ai atteint les 50 027 mots aux alentours d’1h30 du matin, avec comme dernière phrase “Je voudrais qu’on arrête de me réveiller“. Ouais, ça y est, on est tombé·e·s dans la joie et l’allégresse (non).
Bien évidemment, le roman en lui-même n’est pas terminé. J’ai passé la moitié environ, il va être assez imposant mais je sais qu’il y a beaucoup de scènes qui ne servent pas à grand-chose, elles seront éliminées pendant la correction. (KEUWA ? Elle écrit sans plan ? Oui.) Les NaNoUpdates vont continuer jusqu’au 30 novembre, date initialement prévue, puisque l’objectif pour moi est de terminer Éphémère dans tous les cas.
Allez, voici la liste des constatations post-50K :
- Jean-Michel l’incruste ne fait pas que s’incruster, il envoie aussi des SMS.
- J’ai tué un personnage en écoutant Only the Winds d’Ólafur Arnalds. J’ai vu ce monsieur en concert à Paris la semaine dernière, ce morceau est celui que j’ai préféré en live. Ledit monsieur a failli me faire pleurer à la fin, c’est un scandale. Je suis trop émotive.
- J’ai casé un personnage crossover de plus. Il est Anglais, c’est tout ce que vous saurez *gniark gniark*
- Les histoires d’amour, c’est comme dans la vie (bis). C’est COMPLIQUÉ sa mère.
- Je suis très forte pour écrire des scènes tristes. Si bien que j’ai envie de requalifier mon roman de “drame romantique” et non de “romance” (merci Anaïs pour l’astuce !)
- C’est toujours autant le bordel.
Je fais également un aparté pour vous dire que ma copine Rozenn sort aujourd’hui la version régulière de son roman Midnight City, et je vous invite chaleureusement à craquer. Petit bonus, si vous écrivez aussi, ça devrait d’autant plus vous parler.
Je continue de mettre à jour régulièrement Instagram, donc n’hésitez pas à y faire un tour si vous souhaitez lire des extraits !
Bon courage à ceux qui n’ont pas atteint l’objectif, n’oubliez pas que l’important, c’est d’écrire !