L’Horlogère & CampNaNo en retard

horlocrop

Aujourd’hui, on change d’ambiance.
Exit l’apocalypse et ses conséquences, on visite un petit village au cœur de l’hiver, où les maisons s’entassent les unes sur les autres et où les rues recèlent des trésors cachés. Certain·e·s le savent sans doute, tous mes textes sont liés et racontent une grande histoire. Les enjeux de cette grande histoire sont éparpillés dans chacun de mes livres, comme dans un jeu de piste géant. Et parfois, de gros morceaux sont dévoilés, comme avec L’Horlogère. Ce nouveau texte court s’attarde sur un personnage inédit, Ayah. Ayah ne quitte jamais son atelier perdu au fond d’une ruelle, elle y répare des objets particuliers : des montres, essentiellement, mais également parfois une boîte à musique, ou un anneau astronomique. Les plus observateurs pourront remarquer que déjà, certains de ces objets apparaissent ailleurs et sont liés à des noms précis. Pourquoi ? Qui est réellement Ayah ? Eh, il est encore trop tôt pour le dire.

L’Horlogère

“Au centre d’un pays à l’hiver permanent se tient une ville sans âge.
Dans cette ville existe une ruelle si étroite que l’on doit presque la remonter de biais.
Au fond de cette ruelle s’élève une maison qui ne paye pas de mine. Quelqu’un l’a transformée en échoppe, à en juger par l’enseigne qui grince au-dessus de la porte. La peinture écaillée et l’état général du panneau ne permettent plus à quiconque de lire le nom de cet endroit. Mais cela n’a pas d’importance puisque, de mémoire de villageois, personne n’en franchit le seuil.”

Lire L’Horlogère

Mais la pause sans apocalypse est de courte durée, du moins pour moi, car à partir de ce lundi 3 août, je commence le #CampNaNoEnRetard avec ma coupine Rozenn, qui a eu la patience de m’attendre pour qu’on souffre ensemble
J’ai déjà un peu parlé de mon futur roman, Ceux qui restent, vous pourrez en suivre la progression sur mon profil NaNoWriMo (si vous avez un compte), et je posterai sans doute quelques extraits sur Twitter tout au long de ce mois d’août. Sachez que la hâte est là, et qu’il s’est étoffé depuis mon dernier article. Au programme : des phénomènes inexpliqués, un graaaand méchant qui s’appelle Gordon (si si) et un rassemblement inattendu entre des murs décrépis. Je sais, je le vends bien 😛

On se retrouve pour la moitié de l’objectif, soit 12 500 mots ! Et bon courage à celleux qui nous rejoignent dans ce chouette défi !